L’île des baleiniers
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Et voilà ! Vous y croyez ? Moi non.
Notre avion a 3 heures de retard !!!
La cause, grève des contrôleurs aériens. Et oui, nous avons patienté 2 heures sur le tarmak dans l’attente d’un décollage imminent.
Et maintenant, nous sommes là sur le quai, devant l’embarcadère, vide.
Nous avons manqué le dernier bateau de la journée pour se rendre sur l’île.
La magie des voyages !
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Si voyager permet de sortir de sa zone de confort, découvrir de nouveaux horizons. Voyager nous oblige aussi à s’adapter aux imprévus !
Et pour l’instant, il nous faut trouver un logement pour la nuit. Et bien sûr, cela ne serait pas drôle si tout était simple. Car cerise sur le gâteau, nous n’avons pas d’internet. Bon l’on va se débrouiller à l’ancienne quand nous n’avions pas toutes ces merveilles de technologie et que voyager relevait plus de l’expédition. Ah !
Pour la petite histoire, nous avons trouvé à nous loger chez l’habitant et le matin nous étions sur le quai pour embarquer, prêts pour découvrir l’île des baleiniers, capitale mondiale de la pêche à la baleine au XIXe siècle.
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Je vous emmène sur l’île de Nantucket.
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Connue grâce à la pêche à la baleine, elle fut le port d’attache de plus de 125 baleiniers. La graisse de baleine faisait vivre l’île et fut prospère jusqu’à son déclin où le tourisme remplaça les baleiniers.
D’ailleurs, Herman Melville situe le point de départ de son chef d'oeuvre "Moby Dick" sur cette ile.
Elle est très connue sur la côte Est des Etats-Unis ainsi que l’île à côté Martha Vineyard.
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Balade dans le centre ville
avec ses rues pavées, ses maisons à bardeaux typiques de Nantucket
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Les paysages sont splendides
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De nombreuses zones sont préservées et protégées, dédiées aux espaces naturels. Balade sur des plages désertes, balayées par le vent. Bien sûr je vous précise que j’étais hors période estivale !
Des plages, des terres humides, des landes et des prairies et le plus grand marais salant de l’île. Louer une jeeps pour parcourir l’île et longer la plage jusqu’à Great Point Ligthouse.
Les voyages nous permettent de cultiver notre curiosité, de vivre une expérience. On ne se rappelle pas tout de ce que l’on a appris à l’école mais ce qu’on a vécu lors de ses voyages, notre cerveau ne l’oublie pas.
Les voyages sont bien plus que de simples hobbies. Ils nous apprennent à nous dépasser, à trouver des solutions dans des moments critiques et à nous ouvrir à d’autres cultures, d’autres idées, d’autres sagesses. C’est une formidable école de la vie.
A bientôt pour de nouvelles découvertes !